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Saccage de notre patrimoine urbain !

Rue de la Pointe, des extensions chaotiques et envahissantes détruisent notre patrimoine urbain. Comment la mairie a-t-elle pu accorder un permis de construire à ce saccage de notre environnement ?

Une lectrice anonyme.


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Saccage des tamaris

PomPonRouge,(alias Ch.G) fait raser les tamaris centenaires devant le "Manoir" dans l'idée saugrenue d'y créer un jeu de boules !!! Trop dangereux pour les enfants jouant à côté !!! Abandonné !!! Ils auront repoussé dans combien de temps !!

Une lectrice anonyme.


Éditorial

Les élections s'invitent à Larmor Baden !

Tandis que plane la menace de grandes perturbations politiques, la municipalité de Larmor Baden et son maire Denis Bertholom en-tête, pourtant étiqueté «Les Républicains », continue son cheminement identitaire et séparatiste d’avec la commune de Baden.

La nouvelle chambre basse risque de devenir le lieu de profonds changements, synonymes de restrictions des libertés, de mise au pas des associations et des syndicats !

On espérait encore de la part de notre municipalité, un minimum de hauteur de vue, une réflexion sur la pollution du golfe, le traitement des eaux usées, l’enclavement de Larmor Baden, l’urbanisation sauvage, la mainmise progressive des riches et des puissants sur notre village ….

Au lieu de cela, nous avons une équipe municipale et un maire qui font l’éloge d’un divorce absurde qui dure depuis 100 ans entre notre commune et celle de Baden.

Fort opportunément, la dernière fête qui devait être à la fois une fête de la mer et un rappel du divorce de nos deux communes a lamentablement échoué et a été annulée sous un vague prétexte météorologique …

Habitants de Larmor Baden et de Baden, resserrons nos liens dans cette période difficile !


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Écologie et politique : un mariage néfaste ?

Comme le disait ma grand-mère, qui avait beaucoup de jugeote, "il ne faut pas laisser l'écologie aux mains des politiques, ils n'en feront que des bêtises".

J'en prends pour preuve deux projets proches de chez nous : les hydroliennes du Golfe et la route solaire dans l'Orne. Ces projets ont été initiés par notre ancienne ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, je veux dire Mme Ségolène Royal.

Le premier projet, rappelons-le, consistait à immerger une vingtaine d'hydroliennes dans le Golfe du Morbihan, afin de produire de l'électricité grâce aux courants marins. Une première étape, financée par les impôts des contribuables, devait démontrer la faisabilité et l'intérêt du projet. Une entreprise a été financée, des recherches l'ont été aussi, pour plusieurs millions d'euros, avant de savoir si ce projet était utile, rentable, acceptable par les riverains du Golfe.

Le résultat est catastrophique : le projet ne se fera pas, des millions ont été engloutis dans des études sans intérêt, l'hydrolienne n'a pas été posée, l'entreprise a été liquidée, des procès sont encore en cours à ce que je crois !

Second projet : la route solaire de Tourouvre, dans l'Orne. Apparemment il aura coûté plus de 5 millions d'euros, pour finalement s'avérer être un total fiasco. Résultat, le route va être refaite et les équipements solaires démontés ( voir ici l'article de The Epoch Times).

Mais on pourrait citer bien d'autres projets qui ont coûté des sommes astronomiques, pour finalement terminer dans la fosse aux projets inutiles.

L'aéroport de Notre Dame des Landes, qui bien qu'abandonné, aura coûté à l'état au bas mot plus de 650 millions (je n'ai pas pu retrouver les chiffres exacts qui n'ont pas été publiés, mais je pense que ça aura coûté beaucoup plus, prenant en compte les coûts indirects sur l'économie locale).

L'écotaxe, qui se proposait de taxer les camions pour inciter au transport ferroviaire, aura aussi été un magnifique fiasco : des installations qui auront coûté au moins 10 milliards à l'état, et qui n'aura pas du tout fonctionné (Voir un article ici).

Sans évoquer la voiture électrique, les éoliennes, etc ... etc ...

L'écologie est vraiment une affaire trop sérieuse pour la laisser aux mains des politiques et des intérêts privés qui tournent autour !

Signé : le petit colibri larmorien


Saint-Denis, terre d’immigration bretonne il y a plus d’un siècle !

Cet article vous propose une histoire passionnante des Bretons émigrés vers la région parisienne, au XIXème siècle.

À partir du milieu du XIXe siècle, les Bretons ont constitué la première vague d’immigration massive arrivée à Saint-Denis et fournis un contingent de main-d’œuvre digérée par les nombreuses usines de la ville. Au point que, dans les années 1950, près d’un Dionysien sur deux était d’ascendance bretonne. Sous-payés, mal logés, discriminés, ces travailleurs ont posé les fondations d’un bastion de gauche.

Lire ici ce long article du Monde magazine.