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Numéro 14 - Janvier & Février 2022

Éditorial

L’équipe rédactionnelle du journal de Larmor & Baden présente ses meilleurs vœux aux habitants de nos deux communes qui ont partagé pendant des siècles un sort commun avant d’aboutir malheureusement à un divorce d’opportunité aujourd’hui injustifiable.

Nous écrivions dans notre numéro 1 que cette division paraît aujourd’hui complètement obsolète et ne sert plus que les intérêts d’une petite coterie identitaire flattée par quelques édiles pour lesquels l’urbanisation débridée est la règle et l’environnement subsidiaire.

Une petite commune de 900 habitants dans un site littoral exceptionnel ne peut sérieusement résister à la promotion immobilière, à l’artificialisation des sols, à l’extension inexorable du béton et du bitume, surtout dans ce contexte de l’argent roi : c’est la raison pour laquelle nous continuons à militer pour le rapprochement et la fusion des deux communes.

L’année écoulée a vu de nombreux succès obtenus par les Associations de Défense de l’environnement contre l’urbanisation sauvage : ainsi le PLU de Larmor Baden qui comporte de nombreuses dispositions écocides a été en partie annulé par le tribunal administratif de Rennes, et son annulation totale est demandée ; un lotissement dense de vingt maisons sur un espace remarquable au-dessus du Marais de Pen en Toul a été définitivement annulé par la cour d’appel de Nantes.

L’île de Berder a été protégée des velléités urbanistiques immodérées d’un promoteur immobilier et de certains responsables de la commune de Larmor Baden. Des extensions d’urbanisation ont été stoppées par différents recours.

Les mêmes Associations se battent pour le rétablissement du sentier côtier sur l’île de Berder et contre l’occupation illégale de la pêcherie sur le domaine maritime.

Une puissante association s’est constituée spécifiquement pour défendre Berder : « BERDER ENSEMBLE » qui préconise une utilisation de cette île magnifique au service de tous et non d’un projet privé.

Le groupe Giboire a fait connaître qu’il abandonnerait le projet d’hôtel de luxe à Berder au vu de la décision d’annulation partielle du PLU.

Mais certains nuages s’accumulent encore :
- le maire a fait appel de l’annulation partielle du PLU;
- le groupe Giboire ne s’est pas désisté de sa demande de permis de construire et n’a toujours pas conclu en réponse aux associations qui critiquent son projet d’hôtel de luxe.
- le maire de Larmor Baden se refuse toujours à faire rentrer sa commune dans le parc naturel régional (PNR ) de Monsieur Lappartient.

Si nous voulons protéger nos deux communes des appétits de la promotion immobilière, il ne faut pas baisser la garde ! Et cette vigilance nous appartient à tous.

C’est bien ce sens que nous formons nos vœux pour 2022.

La rédaction.


Numéro 15 - Mars 2022

Éditorial

Par tous les moyens, le Maire de Larmor Baden et Conseiller Général LR du Morbihan entend réduire au silence les Association Environnementales qui contrecarrent ses projets urbanistiques débridés et parfois écocides.

Sa première cible a été l’AQVLB qui s’investit depuis 30 ans contre l’urbanisation sauvage, la déforestation, l’artificialisation des sols y compris sur des sites remarquables, et pour la protection du Marais de Pen en Toul et de Berder notamment.

Pour ce faire, le maire a mené une politique de dénigrement systématique de l’AQVLB, l’accusant d’exercer des recours juridiques infondés contre ses projets, l’ostracisant avec ses relais qu’ont étés le collectif de son conseiller Guillomard, bientôt remplacé par l’association « Larmor durable » de son ami Violo.

Ensuite, le maire a refusé la participation de L’AQVLB aux travaux d’élaboration du PLU, en lui déniant sa qualité d’association environnementale agréée, agrément pourtant accordé par la cour d’appel de Nantes en 2003.

Ce refus n’a eu aucun impact puisque l’AQVLB a pu contribuer à l’élaboration du PLU au titre de sa qualité de membre de la FAPEGM, en coordination avec les AGM et les ACR.

Le maire n’a d’ailleurs tenu aucun compte des avis des quelques 20 associations environnementales, pas plus que celui de la commissaire enquêtrice, ou celui de la Mission Environnementale ( MRAE), ni même de l'avis du préfêt du Morbihan, …

Il n’a pas hésité davantage à utiliser son nouveau bulletin municipal en papier glacé comme un organe de propagande pour en venir finalement aux injures sans parler de l’exclusion récurrente de notre association du forum annuel. Les demandes d’audition ont toutes été rejetées et un conseil municipal a entièrement été consacré, sous sa présidence, aux injures proférées contre l’ AQVLB qualifiée de « fossoyeur de la commune », reliant ainsi les délires de monsieur Violo.

Devant l’échec de sa politique urbanistique condamnée par les juridictions, Monsieur Bertholom s’en est pris à toutes les associations environnementales et notamment à BERDER ENSEMBLE qu’il accuse d’avoir défilé dans les rues de Larmor Baden pour défendre l’accès du public à Berder au mépris des droits de l’homme réduits au seul droit à la propriété privée !

Loin du moindre mea culpa, Monsieur Bertholom dénonce une fois de plus les recours multiples des associations environnementales qui ont abouti à la condamnation de la commune par les juridictions administratives, sans se poser la moindre question sur les motivations de ces décisions, pas plus qu’il n’accorde le moindre intérêt aux avis desdites associations

Il en va ainsi de l’antenne monumentale de près de 30 m de haut construite sur sa seule décision rue du Moulin en milieu urbanisé à 300 m d’une école!

Là où les communes d’Arradon, de Sulniac, de Beignon ou de Landaul, parfois les Maires, se sont mobilisés pour empêcher l’installation de pareils ouvrages en milieu urbain, le maire de Larmor Baden a décidé seul en décembre 2016 de l’implantation de cette antenne 4G/5G. On se souvient de la grève de la faim d’Eugène Riguidel qui, soutenu par le maire de Landaul et la population, a obtenu le déplacement d’un projet d’antenne identique.

Rien de tel à Larmor Baden ou Monsieur Bertholom s’entête et se vante même de sa victoire juridictionnelle contre un riverain à la suite de laquelle il a demandé à Monsieur Paul Alouette, responsable des travaux, de construire le bloc de béton nécessaire à l’édification de l’antenne, aux frais des larmoriens.

Ce que n’avait pas prévu monsieur Bertholom, c’est que les opérateurs de téléphonie n’ont pas voulu de l’antenne de la Société Tech Invest ! Et comme il ne peut rendre responsable les associations, il s’en prend aux opérateurs auxquels il reproche de ne pas vouloir utiliser son jouet !

Par ailleurs, aucune voix ne s’élève au conseil municipal godillot de Larmor Baden. Il apparaît donc essentiel qu’une opposition puisse s’exprimer dans la commune….

C’est la place de libre expression qu’entend tenir le Journal de Larmor et Baden et qu’aucune intimidation ne fera taire.


Numéro 16 - Avril 2022

Éditorial

Qui est Denis Bertholom, Maire de Larmor Baden et Conseiller Général «Les Républicains» du Morbihan ?

Chacun sait à Larmor Baden que notre Maire — qui considère que « l’environnement est au service de l’homme et non l’inverse » et que les règles environnementales trop contraignantes sont faites pour être contournées — a adopté depuis longtemps l’idéologie productiviste de l’urbanisme à tout prix et n’importe comment !

Pour Denis Bertholom, le rapport du GIEC qui annonce l’irréversible, le réchauffement climatique, la montée des eaux sont autant de billevesées répandues par des prophètes de malheur !

Pour Denis Bertholom, la chute de la biodiversité, la préservation de l’environnement, les lois protectrices de la nature, des arbres et des sites naturels sont des jérémiades de bobos décroissants qu’il convient d’écouter mais surtout de ne pas entendre !

Denis Bertholom refuse opiniâtrement l’adhésion de notre petite commune au Parc Naturel Regional car il pense que cela pourrait entraver sa liberté de bétonner.

Ainsi, pour Denis Bertholom, abattre 18 arbres sur un site protégé remarquable et sous un faux prétexte n’est pas un problème !

Il y a d’ailleurs été largement encouragé par son conseiller Paul Alouette, dit le « poseur de rails », qui l’a entraîné dans des voies sans issues telles que le lotissement AFUL ( qui aurait permis l’urbanisation progressive du secteur naturel de Pen en Toul ).

Il y a eu ensuite l’antenne monumentale de la rue du Moulin dont il a decidé seul de l’implantation et du modèle technique, et qui est aujourd’hui refusée par la totalité des opérateurs de télécommunications ! Cela n’a pas empêché notre poseur de rails s’improvisant chef de chantier d’y implanter un gigantesque cube de béton sur le terrain de tennis pour y accueillir sa magnifique antenne … ( voir notre article ici ) si magnifique qu’il a cru devoir la décorer avec des caméras de surveillance tout aussi inutiles, acquises par la commune pour 44.000 € au frais du contribuable ( voir les détails ici ).

Non content de tenter d’urbaniser le secteur de Pen en Toul, notre Maire tente toujours d’urbaniser Berder, d’abord en accordant un permis de construire pour un hôtel de luxe sur cette île, mais surtout en y créant une zone NT dans son PLU, rendant ainsi possible une urbanisation rampante en dépit de la renonciation du promoteur Michel Giboire ( « l’ hôtel ne se fera pas ! »).

Denis Bertholom ne renonce pas et fait appel de toutes les décisions qui ne se plient pas à ses objectifs.

Car pour Denis … , Bertholom a toujours raison, même quand il a tort comme on dit aux armées !

C’est pourquoi, Denis Bertholom ne renonce jamais au béton ! Aujourd’hui contrarié par les nombreuses condamnations de ses projets délétères, il accélère les autorisations de construire notamment des lotissements sur des zonages OAP créés dans son PLU dont il craint l’annulation totale … Un lotissement de 15 maisons chemin de la Fontaine dépourvu d’affichage réglementaire et un lotissement de 6 maisons à proximité de l’ancien presbytère.

Pour notre maire, c’est une course de vitesse : construire avant l’annulation probable du PLU. Il a en effet beaucoup à perdre en cas d’annulation, car après la péremption de l’ancien POS, après l’annulation du précédent PLU, la question de l’urbanisme lui échappera en grande partie.

Par ailleurs, Denis Bertholom, un tantinet rancunier, ne se prive pas de s’en prendre aux associations environnementales qu’il s’autorise à traiter de « peu respectueuses des droits de l’homme » (sic) ou à faire injurier publiquement par quelques godillot en conseil municipal.

Il sait aussi être taquin avec certains de ses concitoyens au moyen de petites mesquineries, comme le fait de ne pas entretenir la voie publique endommagée par des travaux à hauteur des habitations de personnes dont les opinions lui déplaisent … Ou rejeter sans raison sérieuse certaines déclarations de travaux des mêmes personnes …

Il sait encore flatter une petite clique identitaire qui s’est déjà illustrée par des intimidations et menaces sur les réseaux sociaux …

Jusqu’où ira notre maire pour faire taire les associations environnementales et mener à bien son urbanisme débridé ? Nul ne le sait !

Ce qui est maintenant acquis, c’est que malgré tous ses déboires, il ne renoncera jamais à ses mandats cumulatifs et ne reprendra jamais son ancien métier d’agent commercial.

Peut-être espère t-il un retournement du mauvais sort qui l’accable avec le probable retour aux affaires de son mentor en politique, Francois Goulard, l’ancien président du conseil général, qui projette de briguer un mandat de député du Morbihan ? Cet homme qui rêvait de faire de Larmor Baden un petit Arradon ( ou même un petit Monaco ); le même qui a toujours soutenu contre vents et marées que Berder n’était pas un espace remarquable !

En résumé, Denis Bertholom est le Maire avenant et souriant d’un petit village de 950 habitants dont il flatte un petit groupe identitaire pour asseoir son pouvoir. Un maire qui ne supporte pas la contradiction tant il est persuadé de la justesse de ses convictions : l’urbanisme partout, l’environnement quand il peut, et seulement pour faire joli !

Il a su museler toute opposition au sein de son conseil municipal et s’appuie sur tout ce qui compte en matière immobilière : les promoteurs, les constructeurs, les agents immobiliers, les notaires , un ancien agent de la SNCF poseur de rails.

Toutes ces personnes sont certes respectables à condition de respecter l’environnement et de ne pas avoir comme seul horizon l’artificialisation des sols au détriment de notre belle commune littorale, de sa faune, de sa flore, de ses paysages maritime encore non appropriés et qui font le bonheur de tous.

La Rédaction


Numéro 17 - Mai 2022

Éditorial

Une Fracture à Larmor Baden ?

Dans un article à sensation publié le 26 avril 2022 sous la plume d’Isabelle Jégouzo, le journal Ouest-France titre :

« ici la fracture ne se lit pas dans le vote »,
( se : mais elle existe bel et bien !)

Pour convaincre de la justesse de son propos, Isabelle Jégouzo recueille les avis sentencieux de Denis Bertholom, maire de Larmor Baden, et improvise un micro trottoir imaginaire avec les avis de Sylvie (?), Patrick (?) et Viviane (?)

Ainsi Isabelle Jégouzo et Denis Bertholom font passer un message parfaitement inepte :

Il existe bien une « fracture » et des « tensions extrêmes » à Larmor Baden, mais celles-ci ne sont pas liées aux choix politiques des Larmoriens « qui votent à droite depuis des lustres ! » nous dit l’attelage Jégouzo-Bertholom, résultats des présidentielles à l’appui!

Pour justifier de cette irréparable fracture, Isabelle Jégouzo et Denis Bertholom inventent un clivage entre « Les Larmoriens de souche » d’un côté et « les gens de l’extérieur ou néo-Larmoriens » de l’autre.

Ce prétendu clivage est aussi celui sensé opposer les résidents secondaires aux résidents principaux, les Larmoriens aux touristes qualifiés de « doryphores », qualificatif méprisant désignant le parasite de la pomme de terre et par extension l’occupant allemand amateur de patates !

Pour « élever le débat », Isabelle Jégouzo fait parler Viviane et Patrick, directement inspirés par les vieilles lunes de Denis Bertholom, pour affirmer que :

« tous les projets de la commune sont attaqués soit par des gens de l’extérieur, soit par des néo-Larmoriens. La vie végète ici ; ce n’est pas un hôtel qu’il faut construire mais un EHPAD pour nous mettre dedans d’ici quelques années » .

On peut y voir du mépris pour les Anciens assimilés au village mort …

Sylvie de son côté regrette l’hôtel Giboire à BERDER qui aurait « créé des emplois » selon une fausse marotte de Denis Bertholom !

Et pour clore son article sociologique, Isabelle Jégouzo fais parler un Larmorien philosophe dont on ne sait s’il est « néo, extérieur, ou doryphore » mais qui souligne que : « les gens ne sont pas racistes ici, juste individualistes et égoïstes ». De quels Larmoriens se moque-t-on ?

On dirait bien qu’Isabelle Jégouzo et Denis Bertholom imaginent une fracture à Larmor Baden pour ressusciter la petite clique identitaire et opposer les Larmoriens afin de poursuivre son dessein d’un urbanisme débridé et opaque.

Les Larmoriens savent-ils en effet qu’une soixantaine de maisons pourraient sortir de terre prochainement au titre de plusieurs OAP, sans consultation de la population et des riverains ?

Car s’il existe une fracture à Larmor Baden, elle est celle qui oppose le lobby des productivistes adeptes de la loi du béton, du goudron, du pétrole et du plastique aux défenseurs de l’environnement qui demandent à la justice d’appliquer la loi.

C’est vrai que Denis Bertholom, maire et conseiller général les républicains, a choisi délibérément de livrer sa petite commune aux mains des premiers. Il n’a toujours pas lu le rapport du GIEC ni pris conscience de ce que l’environnement doit être défendu à l’échelle d’une toute petite commune comme à celle de la région ou du pays tout entier !

Il paraît regrettable que par la voix d’Isabelle Jégouzo, le journal Ouest France, habituellement si soucieux de social et d’environnement, mais aussi de paix civile, s’emploie à créer dans un petit village de bord de mer une fracture et des tensions qui n’existent pas.


Numéro 18 - Juin 2022

Éditorial

Géovélo, pour encourager la pratique du vélo ?

« Monsieur Bertholom, conseiller général LR et maire de Larmor Baden, veut-il faire oublier au président Lappartient son refus persistant de faire adhérer la commune de Larmor Baden au Parc Naturel Regional ? » C’est ce que semble nous dire Mme Jégouzo, qui nous a encore commis un grand article à la gloire de l'élu Bertholom, maire de Larmor Baden, mais aussi vice-président en charge des mobilités, des déplacements et des infrastructures de transport à l’Agglomération, rien que cela !

Malheureusement, et comme à son habitude, Mme Jégouzo masque la réalité, ou plutôt l'embellit au profit de son élu favori :

"Géovélo, la nouvelle appli pour pédaler tranquille...(sic)" : non Mme Jégouzo, Géovélo n'est pas une nouvelle application. Créée en 2010, la jeune société La Compagnie des Mobilités développe une application dédiée au calcul des itinéraires à vélo. Baptisée, Geovelo l'application permet à son utilisateur de calculer les itinéraires adaptés à sa pratique du vélo (pistes, bandes cyclables, rues peu passantes...). Disponible sur Android et iOS, l'application propose également des balades urbaines ou en périphéries pour les cyclotouristes. En 2018, la start-up enregistre une levée de fonds de 600 000 euros auprès de l'Institut Français du Pétrole Energies Nouvelles (IFPEN) et du fonds Val'Angels.

"Golfe du Morbihan-Vannes agglomération vient de consacrer 34 000 € à cette application, disponible gratuitement sur les sites de téléchargement habituels." (sic). Cette somme financée par les contribuables de la communauté de commune semble bien considérable par rapport au travail nécessaire pour introduire les données dans la base de Géovélo. Un groupe d'étudiants de la faculté de Vannes aurait pu faire le travail pour bien moins cher. Et surtout quand on constate le résultat : un mitage de petits tronçons de voies cyclables, non reliées entre elles, et ne permettant pas de faire ce que propose la propagande de Mme Jégouzo : "...des balades à la carte, sécurisées, touristiques, directes et même pour les vélos de randonnées (VTC)..." sauf que les fameuses balades sont entrecoupées, voire envahies de tronçons routiers dangereux pour les cyclistes. Voir la carte ci-dessous, avec les pistes en vert.

" ... cette application convient aussi bien aux habitants qui ont envie de découvrir leur territoire qu’aux touristes qui sont de plus en plus friands des trajets à vélo. Et notre territoire est parfait pour les deux-roues. " Tu parles Charles ! et c'est un cycliste qui parle. Combien de fois sommes nous rasés par un véhicule qui se moque bien de garder une distance de sécurité avec le cycliste ? Les passages de piste cyclable à la route ne sont pas sécurisés (voir par exemple le passage à Larmor Baden à la hauteur du camping Le Diben, en plein virage !).

Quant au système Veloceo de Vannes, il est totalement obsolète. De plus les pistes cyclables à Vannes ont été réalisées au détriment des autres moyens de transport, sans concertation avec les usagers, entrainant des files de voitures sans fin aux heures de pointe. Comme le réseau de bus est très insuffisant, avec des horaires et des correspondances sans réflexion générale sur les déplacements, ce sont les usagers de la route qui subissent les conséquences d'une organisation des mobilités, des déplacements et des infrastuctures de transport en dessous de toute attente sérieuse.