Un lecteur nous écrit :

Dans un article fleuve paru au journal Ouest-France du mardi 26 avril 2022, Isabelle Jégouzo, journaliste proche du maire Denis Bertholom, développe l’idée selon laquelle: « La tension est extrême à Larmor Baden »

« Tous les projets de la commune sont attaqués soit par des gens de l’extérieur, soit par des neolarmoriens (sic) »

Elle s’appuie pour étayer son raisonnement sur un micro-trottoir imaginaire faisant parler Sylvie, Patrick et Viviane … aux propos entrecoupés des sentence de Denis Bertholom. Et le maire d’affirmer : « Dans un avenir proche, nous aurons des listes constituées uniquement par des résidents secondaires . »

À cet instant, Intervient le micro trottoir : Viviane et Patrick disent : « tous les projets de la commune sont attaqués soit par des gens de l’extérieur soit par des neo-Larmoriens. La vie végète ici ça n’est pas un hôtel qu’il faut construire mais un EHPAD … »

Ensuite notre Journaliste émérite ne s’abrite plus derrière des témoins imaginaires pour affirmer que : « les tensions sont vives et les réactions sont violentes entre les locaux et les doryphores, surnom donné aux non - Larmorien »

Qui sont vraiment les Larmoriens , les néo-Larmorien? Combien de temps faut-il à un néo-Larmorien pour devenir un Larmorien ? Combien de temps faut-il à un « doryphore »pour devenir un « local », un néo - Larmorien ou mieux encore un Larmorien de souche?

Le Maire de Larmor Baden à son troisième mandat est-il un doryphore ? un local ? un néo-Larmorien ? ou un Larmorien de souche ? pour nous représenter !!!

Le dernier témoin imaginaire cité par Madame Jégouzo est un « Larmorien » sans doute philosophe qui nous dit sur la base du vote Le Pen peu important à Larmor Baden que : « les gens ne sont pas racistes ici, juste individualistes et égoïstes »

Allons Madame Jégouzo ! allons Monsieur Bertholom ! cessez de vous répandre en balivernes et billevesées avec une fracture purement imaginaire, des tensions inexistantes, des clivages inventés !

Les larmoriens s’entendent bien, les querelles de village ne sont pas plus nombreuses qu’ailleurs et peuvent se régler autour d’un verre ; et comme le disait Marcel Aymé en parlant de son retour de Russie, les canards n’y sont pas plus maltraités qu’ailleurs !

Signé un gars de Larmor !


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